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July 06, 2022
Des vacances inoubliables 3
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Des vacances inoubliables
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J'avais voulu, avant que mon père ne me quittât, lui faire visiter quelques monuments historiques, qu'il n'en manquait pas à Paris, lui emmener promener dans les arcades réputés et déjeuner dans les meilleurs restaurants de la ville. Il me remerciait de toutes les peines que j'avais eues pendant son court séjour et souhaitait de tout cœur me revoir très bientôt. Il m'avouait avoir passé des moments agréables en ma compagnie et me fit remarquer combien ce serait pénible pour lui de se séparer de moi et de Akbar. Nous avions apporté dans son cœur de nouvelles sensations de joies et d’intenses félicités sur lesquels il reposait de grands espoirs et de l'ambition. Ses paroles me touchaient au plus profond de mon cœur. Mes yeux se remplissaient de larmes quand nous faisions nos adieux à l'aéroport.
Akbar se jetait dans mes bras pour me consoler. C'était mon père. Il le savait. Il était lui-même touché de cette séparation. J'avais plusieurs démarches à effectuer avant de quitter Paris. Mais le plus important pour moi était de savoir ce qu’Akbar en pensait si nous allions nous rétablir à l'île de la Réunion. De quelle manière devais-je m'y prendre pour lui aborder le sujet ? Je cherchais une occasion pour lui soulever la question. J'étais persuadée que tôt ou tard j'aurais cette occasion. J'attendais avec impatience.
Les vacances scolaires s'étendaient jusqu'au mois de Septembre. Pendant que je me rendais au travail Akbar se mêlait à un groupe de jeune du quartier, tous parait-il des enfants des immigrés, pour jouer au football sur un terrain appartenant à la commune et qui paraissait plus à un dépotoir qu'à un terrain de foot. Une odeur nauséabonde s'élevait dans les parages sans que les autorités concernées n'interviennent en aucune façon. Quand je rentrais tard le soir je m'étonnais de constater que des vêtements d’Akbar émanaient des odeurs répulsives. Il ne me cachait rien de ses activités de la journée quand je lui interrogeais. Je parvenais à lui arracher de la bouche des vérités sur les comportements honteux de quelques-uns de ses amis que d'ailleurs je lui interdisais de voir et de fréquenter. Quelques jours plus tard il tomba malade. J'aurais dû l'emmener chez le docteur pour faire descendre sa fièvre. Il avait eu une mauvaise infection et c'était dû certainement aux nourritures infectes qu'il s'amusait avec ses copains à ingurgiter pendant qu'ils se trouvaient ensemble. Il aurait dû garder le lit pendant plusieurs jours. Il supportait mal les antibiotiques. J'aurais dû faire appel à une jeune étudiante qui n'habitait pas trop loin de la maison et que je connaissais depuis peu de temps pour s'occuper de lui pendant mon absence.
Mon père me téléphona dans mon bureau pour me dire qu'il avait fait bon voyage et qu'il pensait beaucoup à nous. Il me fit savoir également qu'il m'avait envoyé par la poste deux billets d'avion Paris-réunion pour moi et Akbar. Il était impatient de nous voir. Je rentrais à la maison ce soir-là avec les deux billets en main en demandant à Akbar qui était assis devant le poste de télé pour regarder des dessins animés si cela lui ferait plaisir d'aller voir grand-père à la Réunion. J'étais surprise de lui voir sauter de joie et d'approuver ma proposition.
— Quand devrions-nous partir ? me demanda-t-il.
— Le plus tôt possible, mon chéri. Juste le temps de nous préparer pour prendre l'avion.
J'avais pris la précaution d'ouvrir un compte épargne à la Banque Nationale de Paris pour mettre l’importante somme d'argent que j'avais cachée dans la maison pendant tout ce temps. Cent mille Francs en tout. J'avais l'esprit tranquille quand j'avais terminé cette opération. J'étais allée voir mon patron dans son bureau pour lui expliquer la situation. Je n'avais rien voulu lui cacher comme je savais qu'il m'avait beaucoup aidé quand j'étais en difficultés. Il m'avait souhaité bonne chance et m'avait dit que je pourrais venir prendre mon travail quand je désirais. Il avait fait préparer ma fiche de paie et m'avait récompensée d'une bonne gratification. J'étais allée récupérer tout, deux jours plus tard. Je lui remerciais de tout cœur de s'être montré si gentil et généreux avec moi pendant toute la durée que j'avais travaillé chez lui. Je me rendais également dans l'établissement scolaire pour retirer les dossiers d’Akbar. J'aurais besoin de ces documents pour faire admettre Akbar dans un autre établissement scolaire à la Réunion. Je ne voulais laisser rien traîner au hasard. Je ferais mieux de penser à tout avec les difficultés qui se posent quand il s'agit des démarches administratives. En guise de précaution, à chaque fois que je me souvenais de quelque chose que je devais faire, je le notais dans un carnet que je gardais dans mon sac à main et ceci pour que je n'oubliais pas après, ce qui d'ailleurs m'arrivait souvent au cas où je ne l'avais pas noté. Je percevais également des allocations familiales, des allocations pour femme seule, des allocations d'aide logement mais préférais ne rien faire auprès de ces organismes parce que le temps ne me le permettait pas. Une collègue de travail avec laquelle j'avais l'habitude de prendre le métro le soir, puisque nous nous dirigions dans la même direction, me parlait souvent des problèmes qu'elle avait avec une copine avec laquelle elle partageait un studio dans la banlieue Parisienne. Elle aurait souhaité habiter un petit appartement pas trop cher non loin de son lieu de travail. Elle ne me cachait rien de ses peines et m'était très sympathique. J'avais tout de suite pensé à elle quand le moment que je devais quitter la maison approchait. J'étais en très bon terme avec le propriétaire de l'appartement que j'occupais cela faisait déjà quelques années sans qu'il n'y eût aucun incident sur le paiement de mes loyers. Je n'avais eu aucun problème pour élire domicile. Je n'avais pas passé par une agence immobilière pour ne pas payer les frais de dossier. Enfin le propriétaire et moi-même étions venus à nous entendre et il m'avait fait confiance. J’avais parlé une fois à mon amie si elle aurait aimé occuper mon appartement. Je l'avais emmené chez moi le jour même et elle était très contente. Elle était également d'accord pour le loyer. Il ne me restait qu'à parler à mon propriétaire. C'était un homme d'un âge mûr qui avait pour moi une grande admiration. Il avait insisté pour que je lui présente mon amie. Je savais qu'il n'allait pas m'opposer un refus. Mon amie, Halima, pouvait venir s'y installer quand je serais partie.
Mes meubles étaient tous en bon état et je ne voulais pas les vendre à bon marché aux brocanteurs de la région. Halima était d'accord de les garder. Ils étaient tous à son goût. Je lui avais fait un prix d'ami et avais laissé des bricoles et des babioles en guise de souvenirs.
Des vacances inoubliables 2
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Des vacances inoubliables 1 Alors que la vie reprenait son cours normal et que je commençais à m'adapter sans trop… https://t.co/F57Nb3fZhf
July 04, 2022
Des vacances inoubliables
Des vacances inoubliables
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Alors que la vie reprenait son cours normal et que je commençais à m'adapter sans trop me plaindre, malgré le froid intense qui s'abattait sur Paris, une visite improviste d'un jeune étudiant que mon père avait envoyé à la fois pour prendre de mes nouvelles que pour me remettre une parcelle contenant une belle robe pour moi et des présents pour Akbar.
Akbar se montrait curieux et m'aidait souvent à briser le silence dans lequel je me réfugiais habituellement quand je n'avais personne avec qui bavarder. Je saisissais donc l'occasion de parler longuement de mon père et de l'Île de la Réunion. J'étais comblé de cette marque d'attention si significative pour moi. J'écrivis ce soir-là à mon père une longue lettre jusqu'à fort tard, lui remerciant de ses cadeaux et lui assurant de mes sentiments à son égard. Il voulait savoir, dans une lettre qu'il m'avait adressée par la même occasion, si je n'avais besoin de rien et si je tenais absolument à continuer à vivre en France. Je tenais à lui affirmer que bien loin à vouloir lui déplaire ou même lui décevoir mon intention restait inchangeable, d'autant plus qu'il connaissait la vraie raison que je ne souhaitais pas une fois de plus mentionner. Mais outre tout cela, de passer des bons moments toute seule en sa compagnie était le désir ardent que je ne pouvais ne pas lui communiquer. J'étais disposée de passer mes vacances auprès de lui s'il s'arrangeait pour se trouver seul. Et puis, mon fils devrait connaître son grand-père un peu mieux. Un père et une fille, séparés par les aléas de la vie et éloignés par un mauvais coup du destin, n'ont-ils pas toutes raisons au monde de se revoir pour se rapprocher et consolider ce lien familial qui a pendant longtemps enduré les épreuves de l’existence ? C'était cette phrase qui fit germer l'idée à mon père de nous décider, par un accord commun, de nous retrouver dans un endroit précis pour les prochaines vacances.
Mon père était venu me rejoindre au début du mois d'août. Il s'était installé dans un hôtel et m'avait téléphoné dans mon bureau pour me prévenir qu'il viendrait me chercher le soir pour que nous dînions ensemble dans un de ces restaurants luxueux. J'étais si contente que j'avais demandé permission à mon patron de sortir tôt dans l'après-midi afin d'aller récupérer Akbar à la médersa et me préparer pour rencontrer mon père. Je savais qu'il pourrait débarquer devant ma porte à n'importe quel moment et je ne voulais pas lui donner cette impression de mener une vie qu'il ne pourrait approuver et qui pourrait l'affecter profondément. Je préférais prendre mes précautions, d'être à l'avance et me parer de toutes éventualités. J'avais mis de l'ordre dans ma petite maison et avait préparé Akbar depuis très tôt sans que lui-même ne pouvait comprendre ce qui se passait. Je lui avais réservé la surprise.
Il n'était pas encore sept heures quand mon père était venu me prendre dans une voiture de location et nous emmené au cœur de Paris dans un restaurant que j'eus tout le plaisir de découvrir et d'apprécier. Nous avions parlé de tas de choses au cours de ce dîner que nous étions obligés d'abréger parce que Akbar tombait de sommeil. J'avais compris que mon père avait de gros problèmes avec son épouse et qu'il n'avait plus le courage de diriger ses entreprises dans l'état où il se trouvait. Il voulait me faire comprendre qu'il n'avait aucune raison de se tuer dans le travail s'il n'avait personne pour lui succéder. Il était temps pour moi de me décider de me joindre à lui afin de lui permettre de développer ses activités comme il le souhaitait. Il avait dépensé suffisamment d'énergie depuis qu'il se débattait dans le commerce pour ne pas continuer à tenir bon jusqu'au bout et de contempler du haut de son piédestal le fruit des années de labeurs et de luttes acharnées. Il avait jugé bon de me tenir au courant de cet état de chose et de m'exprimer son ardent désir de m'avoir à ses côtés pour l'épauler à accomplir un travail dans lequel il s'était tant dévoué. Il voulait passer également quelques moments agréables en ma compagnie. Je lui avais trouvé fort déprimé et par moment soucieux de ce qui pouvait lui arriver. Il n'avait personne en qui mettre toute sa confiance et avait l'air parfois d'un homme perdu. C'étaient des faiblesses que je parvenais à déceler pendant le peu de temps que je passais à ses côtés. J'avais toute raison de croire que la situation était beaucoup plus grave que cela semblait être au moment où mon père laissait échapper des bribes de ses sentiments cachés et frustrés. Ce n'était pas de son habitude de faire des confidences mais à savoir maintenant les raisons qui lui avaient poussé à me parler de la sorte était une question que je ne cessais de me poser pendant que je me trouvais toute seule chez moi.
J'avais bien compris que mon père avait besoin de moi à ses côtés pour reprendre courage afin de donner plus d'ampleur à ses activités et aussi un sens à sa vie. Étais-je prête à me mettre à côté de lui pour lui épauler dans ses entreprises ? Ce n'était pas la première fois qu'il m'exprimait son désir de me voir se ranger à ses côtés. L'autre fois je n'avais pas pu prendre une décision parce que l'idée était nouvelle et que je n'avais pas encore eu le temps de réfléchir là-dessus. C'était la raison pour laquelle je n'avais pas voulu aborder la question. Cette fois-ci il valait mieux que je réfléchisse bien avant de prendre une décision.
De venir passer les vacances avec moi n'était qu'un prétexte, je le savais depuis le début. Ses affaires pouvaient difficilement lui permettre de telles fantaisies. Pourtant il était venu me voir avec des idées bien définies. Il m'avait beaucoup questionné sur ma condition de vie. Il était venu chez moi pour voir de quelle manière je vivais et pour se faire une idée de ce que je possédais. Je ne vivais pas dans le luxe et chez moi il n'y avait rien d'attrayant. Ma vie était modeste mais je me sentais bien. C'était l'essentiel.
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June 22, 2022
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Confessions sentimentales (LES GENS DE LA COLONIE t. 3)
La façon dont la vie est menée dans des familles aisées nous permet de réfléchir longuement sur bien des choses qui ont des liens étroits avec l'existence. Les relations familiales, les sentiments qui naissent entre les membres des familles demeurent des myst&...
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May 22, 2022
IL ÉTAIT UNE FOIS …LA COLONIE 14
IL ÉTAIT UNE FOIS …LA COLONIE 14
La Grande Maison était construite solidement, mais ne pouvait s’échapper aux assauts constants d’un vent furieux. La nature déchaînée ne voulait trouver aucun obstacle sur son chemin. Rien ne devrait être épargné. Ni les édifices construits par l’homme, ni les monuments érigés, n’échapperaient à la colère de Dieu Tout Puissant. Maître Thomas Derfield ne pouvait trouver sommeil par ce brusque changement de temps ; il se faisait des soucis pour les dégâts qu’il constatait déjà dans une imagination prévoyante ; il s’était levé de son lit et marchait de long en large dans le grand salon ; ses deux mains étaient enfouies dans les poches de son peignoir satin couleur marron et ses pieds chaussaient des pantoufles de peau de castor qu’il avait achetés à des marchands arabes sur un vaisseau anglais lors d’un voyage à Madagascar.
Quelques volets de l’étage n’étaient pas bien fermés ; il put entendre les bruits fracassants qu’ils faisaient en se heurtant avec violence contre les pierres et les rebords des murs. Cela lui portait sur le système ; en approchant le miroir au fond de la pièce et les quelques bougies, à moitiés consumées dans un candélabre luisant dont les flammes vacillaient par un courant d’air frais, il découvrit un visage qui exprimait la rage ; il entrait dans une colère noire qui lui rongeait l’intérieure de son être.
Il se trouvait à l’étage ; il avançait tout près de l’escalier ; d’une voix qui tonnait dans toutes les pièces et qui fit vibrer la cervelle il appelait : “Antonio.”
Le vent qui hurlait, semblait avoir pris l’intonation de sa voix et l’écho résonnait dans les chambres avant d’être emporté par le vent dans la lointaine contrée pour s’étouffer dans la tempête.
A cet appel, les esclaves accoururent dans le désordre et la confusion, les visages bouffis par le sommeil, les vêtements en chiffons.
— Où est passé Antonio ? redoubla a voix plus rauque. Je ne lui ai pas vu de toute la soirée. Qu'on aille me le chercher et vite
– Oui Maître, répondirent-ils dans la peur et l’hébétude. Les esclaves se regardèrent les uns les autres sans pouvoir rien dire ni protester sur le temps qu’il faisait. Au même instant surgit Victor d’une chambre à étage.
— Fils, lui dit Maître Thomas Derfield, avec un ton plus calme, entends-tu claquer les volets, toi aussi?
— Oui père, répondit Victor, si cela continue comme ça, la maison sera gravement endommagée.
– Faites rassembler tous les ouvriers et qu’ils barricadent les portes et les fenêtres, consolident les cloisons, les plafonds et les portes les plus affectées de la maison. Attention Victor. Tu ne dois à aucun prix te risquer par ce temps. Trouve en Antonio. Ce fainéant n’en finira jamais de s’absenter de la maison. C’est une chance s’il ne s’est pas saoulé, qui sait même crever dans la boue des plaines où il a l’habitude d’aller traîner son vieux cadavre.
Pendant que Victor dévalait les escaliers pour mettre à exécution les ordres que son père lui avait dictés, Maître Thomas Derfield se dirigea vers la chambre à coucher pour s’informer de la santé de Madame Derfield ; elle s’était prise, au moment même qu’il franchit le seuil de la porte, d’un tel accès de toux que, si sa fille Roseline qui s’asseyait à côté ne l’aurait pas donné quelques petites tapes dans le dos, elle aurait assurément sombré dans un profond coma comme cela lui arrivait souvent.
– Ton état de santé m’inquiète de plus en plus, Olivia, dit Maître Thomas Derfleld, s’il serait possible par un temps pareil de faire venir le docteur ! Il habite à plusieurs milles de distance que par une nuit pareille, personne ne pourrait atteindre sa maison. La région est partout inondée. Il faut absolument attendre le jour.
– Ah Thomas, dit Madame Olivia Derfield, d’une voix faible et à peine audible, ce n’est pas la peine. Le docteur ne pouvait rien faire pour moi. La mort me menace depuis si longtemps que je la sens déjà m’empoigner de toutes ses forces. Seigneur ! Quel crime suis-je en train d’expier ?
– Mère, dit Roseline, vous faites trop d’imagination. Vous ne devriez pas parler ainsi. Votre maladie n’est pas si grave que vous l’imaginiez. D’ailleurs le docteur même a dit cela. Encore un peu de patience et vous verrez que vous allez guérir.
– Oui Olivia, dit Maître Thomas Derfield, le docteur me l’a avoué aussi que tu te rétabliras bientôt. Il vaut mieux que tu te reposes au lieu de te tourmenter par des pensées qui ne pourront provenir que de ton imagination affligeante, faible, impuissante au moindre raisonnement.
– Qui pourrait m’empêcher d’imaginer, répondit Olivia, à cela il n’y existe aucune barrière. Aucune. Je vais sombrer dans la mort sans que vous ne le deviniez.
©Kader Rawat
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IL ÉTAIT UNE FOIS …LA COLONIE 13 En contemplant Charles dormir pendant le déluge qui s’abattait de toutes ses forc… https://t.co/o5efyxJfE1
May 21, 2022